Depuis toujours, j’ai un faible pour les courses ainsi que les voitures sportives. Un amour que je n’ai jamais pu exploiter car avec c’est ma vie qui roule à 100 à l’heure, je n’ai pas beaucoup de temps pour les loisirs. A l’occasion de mon anniversaire, ma femme m’a offert un stage de pilotage en voiture. Deux jours consécutifs à rouler dans une voiture puissante, rien de plus beau. Un weekend de rêve que j’ai envie de vous partager entre « amoureux de voiture ». Vous pouvez aussi vous faire plaisir, il y a plein d’idées pour vous aider !
Un accueil impressionnant
Dès le premier pas dans l’enceinte, j’ai compris que je n’ai jamais dû délaisser mon amour pour les voitures. Une bonne ambiance et une atmosphère sympa, c’est ce que j’ai constaté en entrant. L’accueil était agréable et moi-même, j’étais surpris de savoir la bonne organisation des responsables. Je me suis rendu à l’accueil et après quelques minutes, un moniteur m’a appelé pour me faire un briefing. Il m’a d’abord donné un petit cours concernant la sécurité, ensuite la mode de freinage, la vitesse… j’ai compris tout de suite que je n’étais pas entre les mains d’un simple amateur mais un bon professionnel de stage de pilotage.
Dans la peau d’un grand pilote de WRC
C’est après le briefing qu’il m’a filé une combinaison et un casque. Après, il m’a invité à monter dans une voiture et on a fait quelques tours. J’ai vu dans sa manière de conduire une maîtrise parfaite du pilotage. A la fin, on est allé choisir une voiture. Comme c’était une journée rallye et que ce n’était que le lendemain que je dois conduire une voiture de luxe, j’ai choisi une Subaru Impreza. Une voiture que je connaissais bien dans WRC que j’avais l’impression que ce n’était pas une première fois. Quand je me suis assis, le moniteur a ouvert la portière et s’est accroupi à côté. Il a ensuite rectifié ma pose, mes mains et mes pieds. Jusque là, je ne savais pas que piloter une voiture de course demandait beaucoup de technique. Vient ensuite le moment tant attendu : j’ai démarré la voiture. A part le fait d’avoir senti vivement la puissance de cette voiture, j’ai remarqué que les consignes qu’il m’a filé m’a permis d’être à l’aise dans ma conduite. En quelques minutes, je me suis adapté et il m’a donné feu vert pour exploser le compteur. A la fin, je ne voulais plus m’arrêter mais hélas, c’était fini pour la journée. On m’a remis un diplôme et une vidéo de la journée.
Une autre journée dans un cockpit de voiture de luxe
Quand je suis arrivé le lendemain, un autre moniteur m’a appelé. Il m’a fait un petit briefing avant de faire une reconnaissance des lieux car ce n’était pas la même route que la précédente. J’avais ensuite l’embarras du choix entre ces voitures digne du jeu Need For Speed. Il y avait une Lamborghini, une Ferrari, une Porsche… vous comprenez surement mon embarras. Il m’a conseillé de choisir la Ferrari F488 GTB. Une belle italienne avec 670CV sous le capot, je connais bien sa fiche technique.
Avec l’excitation, il m’a conseillé de garder la tête froide car je n’ai pas le droit à l’erreur, sous risque de payer gros. Dès le démarrage, j’étais conquis par sa puissance. En 3secondes environs, j’étais dans les 100km/h. Je roulais à 210km/h en seulement 7 secondes je pense. Je pensais à ma femme qui m’a permis de vivre ce rêve, à moi qui n’a jamais pensé à ce genre de chose, et je me suis même dit que je vais travailler fort pour pouvoir m’acheter une telle voiture. Quand le moniteur m’a dit que c’était mon dernier tour, j’ai ralenti pour profiter une dernière fois. Il avait compris mes sentiments qu’il m’a dit de faire un autre tour. A la fin, je ne voulais pas sortir du véhicule, les genoux engourdit, les larmes aux yeux… quelle expérience ! Je voulais m’enfuir avec cette bête et en plus je savais qu’ils ne pourront me rattraper. Mais bon, je me suis dit que je reviendrai la prochaine fois.
A part le fait que j’ai passé un weekend de rêve au volant de deux belles voitures, j’ai aussi amélioré ma conduite hors piste. Je n’avais jamais su que j’avais une telle passion pour la vitesse, mais n’empêche que j’ai compris que je ne dois pas dépasser les limites sur la route. J’ai tellement adoré que je pense m’inscrire au club pour tester d’autres voitures comme une Lamborghini.